dimanche 21 décembre 2025

La Bafouille de la Mandragore.

La Bafouille de la Mandragore est une sorte de gazette dédiée aux "productions" de la Mandragore plaintive et des parties de jeu de rôle qui s'y déroulaient.

Si elle était destinée avant tout aux joueurs de la table de jeu de rôle, elle fut directement disponible sur le site Itch.io. De cette manière, elle peut ainsi être accessible à tous, même en dehors des personnes participant aux parties de jeu de rôle. Bien m'en échu car la pratique m'apprit que peu, voire aucun, participant ne prenait le temps de la lire.

De ce fait, elle sera tournée plus vers le "grand public" à l'avenir. La table de jeu n'étant plus, il n'y a plus de raison qu'elle soit essentiellement destinée à la campagne Reminiscence

Elle reste à périodicité chaotique et plus à l'envie ou la nécessité de communiquer. Suivant dorénavant la devise "never complain never explain", je n'expliquerai plus la raison de mes choix. Ses sorties seront communiquées soit ici, soit sur le blog interne du site web, soit sur la page Facebook.




mardi 9 décembre 2025

Mémoires déchues - Le supplément de Jdr

Dans le dernier article de ce blog, je vous présentais le projet du tome 3 de La Geste Gnome, nommé Mémoires déchues. Ce sera le troisième roman fondé sur le peuple gnome de l'univers des Anciens Royaumes d'Émeraude. (Ce terme, comme d'autres, est expliqué sur le wiki du site de La Mandragore plaintive disponible ici).

En plus du roman, je vous confiais l'idée de compiler des textes annexes à celui-ci, sous forme de miscellanées, dans un recueil nommé Ana Gnoma

Enfin, un supplément de jeu de rôle viendra compléter tout ceci. Il fera suite au supplément appelé Gnomadeyrnasleabhar, présentant le peuple gnome et les terres les abritant. Ce nouveau supplément, ayant pour nom : Les Archivistes, présentera la Guilde des Archivistes et la faction de l'Ordre du Verso qui la gangrène. 

Comme déjà expliqué, pour les raisons maintes fois évoquées, aucune date de sortie n'est définie pour ses différents ouvrages. L'année 2026 devrait nous éclairer plus sur ce sujet.

lundi 1 décembre 2025

Mémoires déchues.

 

Comme je l’ai écrit sur le blog du site de la Mandragore, je reprends, en douceur, l’écriture.

Suivant les prétextes de mon propre « Manifeste », me voilà requinquer pour de nouvelles aventures. Je pense que je ne peux pas faire autrement, qu’il y a quelque chose qui me pousse à continuer, malgré les embuches, malgré le manque de perspective.

 

Je me remets, donc, à l’écriture, mais à mon rythme pour éviter toute forme de pression et ne pas retomber dans mes travers ayant conduit aux derniers événements, expliqué en long, en large et en travers sur ce blog et sur celui interne au site web.

 

Je reprends l’écriture d’un projet, depuis trop longtemps mit au placard. Celui du roman faisant suite au Tome 2 de la Geste gnome, nommé « La Mandragore plaintive ».

 

Initialement intitulé « Voyage en compagnie gnome », ce troisième roman de la « Geste gnome » portera finalement le nom de « Mémoires déchues ». Il sera la suite du Tome 2, mais pourra se lire indépendamment de celui-ci, et bien évidement du premier tome également.

 

Il sera présenté, aussi, sur le blog interne du site de la Mandragore plaintive, ainsi que sur ce blog externe.

Selon le « Manifeste » et en respect de celui-ci, aucun timing n’est défini pour l’écriture et la diffusion de ce livre.

 

D’autres textes seront compilés dans un recueil nommé Ana Gnoma suite du Miscellànea Gnomus, Tome 1. (Par exemple sur « L’Ordre du Verso »).

Des textes ayant trait aux propos, principalement, de ce Tome 3. Des textes approfondissant des factions, des lieux, des personnages, des histoires contées dans ce livre, seront présentés dans ce « recueil ».

 

En parallèle, je continue et termine un livre sur un univers « contemporain » qui est une collaboration avec un groupe musical, commencée depuis quelques années et qui devrait se terminer avec le roman.

 

Pour le reste, je laisse venir.

jeudi 27 novembre 2025

Manifeste

Le manifeste est né après une longue période, perdu dans le noir de mes pensées.

Après cet arrêt brutal du jeu de rôle et de l'écriture, dans une tentative désespérée de renouer le contact. 

Pas qu'on ne se parlait plus, qu'il y avait une mauvaise ambiance, c'était même le contraire, non. Le souci était qu'on ne parlait pas vrai.

On parlait de tout, du temps qui passe, du dernier film sortit, de musique, de série et même, parfois, de jeu de rôle. Mais on ne parlait pas de nous, on ne se parlait pas et quand j'ai voulu le faire, ce fût le drame.

On n'a pas grand-chose à se dire, finalement. Des petits tracas de la vie, de temps en temps. De choses essentielles, pas vraiment. Et comme nous ne partagions rien de profond, quand je le fis, cela tomba à plat.

Quand je déclarai vouloir partir, on me laissa partir. Les conversations sur le temps qui passe, sur le dernier film sortit et de la musique allait continuer de toute manière. Et plus de jeu de rôle ? Peut-être ! Et alors ? 

On vit les uns à côté des autres, pas les uns avec les autres. Notre petite bande n'y échappait pas. Pour moi, annoncer l'arrêt de deux de mes plus anciennes passions était comme annoncé que j'allais aller me pendre, quelqu'un en aurait peut-être à dire, peut-être quelque chose à foutre ? 

Ce qui fut dérangeant pour eux, fut de l'annoncer. Ce qui fut malaisant, ce fût la manière de le dire. Le sujet de l'annonce, lui, ne regardait que moi. 

Grave erreur de penser qu'on partageait plus que des conversations sur le temps qui passe, sur le dernier film sortit, sur la musique et parfois, même, de jeu de rôle. 

Le temps qui passe est ma hantise. Le cinéma, je n'y vais plus. La musique, je suis dépassé et le jeu de rôle... trop peu au final. Alors, je suis parti, sans bruit, sans me faire remarquer. Sans que personne le remarque.

Je suis parti manger mes idées noires, seul. On l'est toujours. Et je le suis surtout quand je suis entouré de gens.

Après un certain temps est né ce manifeste, dont je ne sais pas quoi faire avec. Juste, peut-être, un rappel à ne jamais recommencer.

Le voici, brut et sans nuances.

Manifeste.

Je ne crée plus pour vous.

Je ne m'arrête plus pour vous.


Je continue parce que c'est ma façon d'exister.

Le reste n'a plus de nécessité.


Je ne cherche plus de réaction, ni d'acceptation.

Je n'attends plus rien de ceux qui se taisent.


Une seule règle désormais :

Je fais ou ne fais pas — mais ce n'est plus vous qui dictez ce choix.


Fin de l'explication.

Début de la reconstruction.

mardi 25 novembre 2025

Bafouille de la Mandragore #04

Une nouvelle Bafouille de la Mandragore est disponible ici.

Elle diffère des précédentes suite aux réflexions quant à l'arrêt du jeu de rôle et de l'écriture.

vendredi 21 novembre 2025

Ego ou création : quand renoncer revient à se piéger soi-même ! 

Il arrive parfois, où l'unique chose qu'on veuille, c'est créer une réaction, ouvrir un débat, pouvoir se libérer... et le piège se referme ! 

C'est ce qui arrive quand on annonce une décision radicale, sans retour possible si le débat ne suit pas.

Annoncer la fin du jeu de rôle, de l'écriture et penser que cela va faire un électrochoc chez ses joueurs, mettre en lumière des problèmes sous-jacent. Lancer la discussion et une ébauche de solution... que nenni !

Quand les seules réactions sont celles basées sur la forme, comment tu as communiqué ton mal-être plutôt que sur le fond : tu communiques un mal-être. 

Le piège se referme.

De la victime, tu passes au bourreau.  Victime du mal-être, de l'incompréhension qui te ronge, de l'écoute absente, tu devient celui qui tranche, celui qui arrête. 

Tu as arrêté "leur" partie de jeu de rôle, ils ne veulent que se défendre, avoir raison à tout prix. Devoir te justifier que tu ne les mets pas en cause, passer ton temps à reformuler tes doléances. Doléances qui ne sont pas écoutées.

Tu as dit que tu arrêtais le jeu de rôle et l'écriture. Ils n'ont pas cherché à comprendre pourquoi, pire, ils se cachent derrière leur rôle de victime et toi, tu vas devoir assumer celle du coupable.

Tu vas devoir assumer TA décision d'arrêter. Et de jeu de rôle et d'écriture, tu n'en feras plus. Le piège s'est refermé. 

Tu aurais souhaité du soutien, ils sont passés à autre chose et toi, tu restes là avec TA décision ne pénalisant que toi finalement.

Faut-il "continuer" à arrêter pour ne pas perdre la face ou faut-il reprendre pour se retrouver soi-même ? 

On ne veut pas qu'on puisse dire "Je savais qu'il ne tiendrait pas", "Encore une menace en l'air", "Il fait toujours du drama pour rien", "Finalement, c'était juste pour qu'on le plaigne".

Non, c'était seulement pour vous faire réagir, mais cela, vous ne l'avez pas vu. pourtant… pourtant, je ne peux revenir en arrière, question d'égo, question ne pas perdre la face, en plus de tout ça !

Cependant, la création, l'écriture est plus forte que moi. Elle fait partie de moi. Cruel dilemme.

Alors, garder la tête haute, camper sur ses positions, prouver qu'on fait ce qu'on dit et se priver d'une part de nous, ou perdre la face, se dédire pour reprendre ses activités ? 

vendredi 14 novembre 2025

Facebook

Une page Facebook est disponible pour parler de l’évolution de la Mandragore plaintive et relayer d’autres activités et évènements liés aux jeux de rôle et à la littérature de l’imaginaire.

Vous pouvez rester au courant de ce qu’il se passe via ce média.

Vous pouvez y accéder ici : https://www.facebook.com/Mandragoreplaintive/

La Bafouille de la Mandragore.

La Bafouille de la Mandragore est une sorte de gazette dédiée aux "productions" de la Mandragore plaintive et des parties de jeu d...